Une nuit d’attente, une nuit de veille.
Quatorze chants pour passer le temps, un temps obscur et indécis, et traverser la nuit jusqu’au lendemain où tout, peut-être, basculera.
Interprétés en solo à la guitare baryton fretless et voix, captés en mono avec un unique micro révélant parfois la pièce et ses extérieurs, les Poèmes de la veille résonnent comme de vieilles chansons qui parlent d’aujourd’hui : un voyage onirique et sensible dans la crue réalité.
Sérigraphie : Atelier Obscur Renens
Graphisme : Oliver Schneebeli
Visuel de couverture : Reinhold Koehler
Décollage imprimé 1967 © Angela Koehler
Paroles et musiques de Stéphane Blok ©SUISA 2020